
Donald Wright

Donald Wright
Donald Wright est un historien du Canada du XXe siècle qui s’intéresse particulièrement à les écrits historiques canadiens. Il est l’auteur de The Professionalization of History in English Canada et de Donald Creighton : A Life in History, qui a été finaliste pour le Prix du Canada. En 2020, il a publié Canada : A Very Short Introduction dans le cadre de la série Very Short Introduction d’Oxford University Press. Il rédige présentement un livre financé par le CRSH sur Ramsay Cook et l’écriture de l’histoire du Canada dans la seconde moitié du XXe siècle. Dont a codirigé la Revue d’études canadiennes et Acadiensis et a été rédacteur chargé des recensions de livres pour la Canadian Historical Review. Membre actif de la SHC, il a siégé sur l’Exécutif en tant que secrétaire anglophone ; il a coédité le Bulletin de la SHC (maintenant Intersections) ; il a présidé le comité de programme de la réunion annuelle de 2011 ; et il a siégé à une poignée de comités de prix, dont le comité de la médaille Garneau. Donald Wright vit à Fredericton avec sa famille et leurs deux retrievers du Labrador, Bruce et Flirt. Il fait de la course en sentier l’été, du ski de fond l’hiver et a une obsession en toute saison – écouter des baladodiffusions.
Promotion de l’histoire, Mise en oeuvre des recommandations du groupe de travail sur le future du doctorat en histoire.
Portefeuilles : Interventions publiques, Comité de l’enseignement

Steven High

Steven High
Steven High est professeur d’histoire et cofondateur du Centre d’histoire orale et de récits numérisés de l’Université Concordia (storytelling.concordia.ca). Originaire du Nord de l’Ontario, il a complété sa maîtrise à Lakehead (1994) et son doctorat à Ottawa (1999), tous deux en histoire, avant de faire des études postdoctorales à Memorial. M. High a d’abord occupé un poste à Nipissing avant d’être embauché à Concordia en 2005 à titre de titulaire de la Chaire de recherche du Canada en histoire publique. Il est un historien transnational spécialisé dans l’histoire orale et publique, les études de la classe ouvrière et les migrations forcées. De 2005 à 2012, il a dirigé Histoires de vie Montréal, un projet d’envergure avec des survivants de violence généralisée qui a produit un large éventail de résultats pour le public. Une grande partie de ses recherches sont réalisées en partenariat avec des organismes communautaires.
Sa première monographie, Industrial Sunset : The Making of North America’s Rust Belt (UTP, 2003) a remporté de nombreux prix, dont le prix Albert-Corey de la SHC/AHA. Il a depuis rédigé cinq autres ouvrages, dont Corporate Wasteland : The Landscape and Memory of Deindustrialization (avec David Lewis, BTL/Cornell, 2007), Base Colonies in the Western Hemisphere (Palgrave, 2009), Oral History at the Crossroads : Sharing Life Stories of Displacement and Survival (UBC Press, 2014 ; Les Presses de l’Université Laval, 2018 – Prix Clio Québec), Going Public : The Art of Participatory Practice (avec Liz Miller et Ted Little, UBC Press, 2017) et One Job Town : Work, Belonging and Betrayal in Northern Ontario (UTP, 2018 – Prix Clio Ontario et Prix Fred Landon de la Société historique de l’Ontario). Il a également conçu des visites guidées audio, des outils numériques, des plateformes Web (https://livingarchivesvivantes.org/) et collabore régulièrement au Montreal Gazette et Le Devoir.
Portefeuilles : Interventions publiques

Jo McCutcheon

Jo McCutcheon
Jo détient un doctorat en histoire canadienne de l’Université d’Ottawa et enseigne à temps partiel au département d’histoire. Elle y donne une variété de cours en histoire canadienne et américaine au premier cycle et des séminaires de quatrième année axés sur les archives, la décolonisation, le genre et l’histoire matérielle. Elle a servi comme membre du Conseil d’administration au Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et a siégé au sein de son comité de programme. Elle siège présentement au conseil d’administration du Musée du costume du Canada, est un membre actif de la SHC et de ses comités affiliés, et soutient le blogue d’enseignement de la SHC depuis sa création. Ses travaux de recherche en cours portent sur l’utilisation de cheveux par les chercheurs qui désirent en savoir plus sur la construction du genre et grandir dans un contexte nordaméricain.
Depuis 1987, Jo travaille comme chercheuse, historienne et consultante à Ottawa, fusionnant ses connaissances des projets de recherche publics et privés tout en maintenant les liens, les adhésions et les relations avec la communauté universitaire. Elle a été directrice générale de l’Association of Canadian Archivists de 2017 à 2023 et débutera dans son poste de directrice générale du Conseil canadien des archives en août 2023.

Alexandre Dubé

Alexandre Dubé
Alexandre Dubé est professeur régulier au département des sciences humaines et sociales de l’Université du Québec à Chicoutimi, où il enseigne l’histoire du Canada, de la Nouvelle-France et du monde atlantique. Docteur en histoire de l’Université McGill, ses intérêts portent sur l’histoire du politique, de l’État, de l’économie politique et de la culture matérielle. Ancien fellow de l’université Caltech (2016-2017), il a enseigné de nombreuses années à la Washington University de Saint-Louis. Ses recherches lui ont en outre mérité des bourses postdoctorales de l’Omohundro Institute of Early American History and Culture et de la John Carter Brown Library.
Ses publications portent sur la culture politique de la Louisiane française et les pratiques gouvernementales et administratives de l’empire français. Ses projets actuels portent sur la notion de dépendance politique et coloniale au XVIIIe siècle, ainsi que sur la diffusion et promotion de l’histoire publique.
Portefeuilles : Publications de la SHC et rayonnement auprès des francophones.

Amanda Ricci

Amanda Ricci
Amanda Ricci est professeure adjointe au Collège Glendon de l’Université York. Après des études de premier cycle à l’Université Queen’s, elle a obtenu une maîtrise à l’Université de Montréal. En 2015, elle a soutenu sa thèse sur le mouvement féministe à Montréal (1960-90) au département d’histoire de l’Université McGill. De 2016 à 2018, elle a été boursière Wilson à la LR Wilson Institute for Canadian History à l’Université McMaster. À McMaster, ses recherches portaient sur les femmes canadiennes et la Décennie des Nations unies pour les femmes, 1975-1985.
Amanda Ricci œuvre présentement à son premier manuscrit sur la résurgence de l’activisme féministe à Montréal. Son prochain projet portera sur l’histoire de l’industrie du vêtement dans cette même ville.
Portefeuilles : Comité sur l’ÉDI