Cet automne, Kristine Alexander a partagé des collaborations incroyables qui ont eu lieu entre l’Université de Lethbridge et le Musée Galt. Dans un article intitulé « What Can You Do When There’s Nothing to Touch?’ Empowering Undergraduate Researchers at the Galt Museum » (pages 16 à 20, en anglais), Alexander, Ashley Henrickson (ancienne éducatrice au Galt Museum), Ben Weistra et LaRae Smith, étudiants de premier cycle, discutent comment les étudiants utilisent leurs compétences et résolvent des problèmes de façon novatrice dans le cadre de leur collaboration avec des établissements locaux.
Après avoir entendu Alexander, Henrickson, Weistra et Smith, cet article nous donne un aperçu de la façon dont les deux étudiants étaient en quête de projets de recherche sur l’histoire du sud de l’Alberta au Galt Museum, là où les sources étaient limitées ou inaccessibles. Ces élèves ont malgré tout pu trouver des solutions grâce à la technologie, au jeu et à l’histoire orale, ce qui a permis d’améliorer les possibilités d’apprentissage pour les établissements, les enseignants et les apprenants qui y ont participé de façon très intéressante et stimulante.
Comment utilisez-vous l’histoire publique en classe ?